7-une démocratie splendide d’arbres forestiers

Une démocratie splendide d’arbres forestiers

Nicolas Stuve, comédien, traducteur et metteur en scène, est aujourd’hui habité par l’idée de transmettre son goût du théâtre et de la poésie, non comme des objets de culture, mais comme des outils à partager pour interroger le monde, en toute sincérité.

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Description

la poesie pour partager nos regards sur le monde

Projet mené avec la compagnie l’Oubli des cerisiers, direction Nicolas Struve

Format déclinable pour collectivités, médiathèques, centre sociaux, scolaire, entreprises…

Spectacle, lectures, ateliers, rencontres autour de John Keats, un poète anglais du XIXe siècle, mort très jeune comme Rimbaud, et qui n’a eu de cesse de célébrer, chanter et défendre la fantaisie, la joie, et surtout « les choses de beauté ».

Comédien, traducteur, metteur en scène, Nicolas Struve a côtoyé les grands textes et les metteurs en scènes les plus reconnus. Il est aujourd’hui habité par l’idée de transmettre son goût du théâtre et de la poésie, non comme des objets de culture, mais comme des outils à partager pour interroger le monde, en toute sincérité.

Au théâtre, quand on dit un texte, on retrouve le corps, le souffle de celui qui l’a écrit. L’auteur n’est pas un fantôme mais une présence. Il y a un être engagé dans la poésie. Mettre en scène, c’est aimer quelque chose très fort et créer une communauté pour ne pas être seul avec elle. La pensée est entraînée au-delà de nous. Ça n’appartient plus à personne mais à tous. Ce qui me motive vraiment, c’est d’arracher la poésie à une lecture savante et désincarnée. La poésie est un corps à corps avec les mots, un mode d’être, un mode de vie : il n’y a que les poètes qui s’engagent ainsi dans la langue.
Nicolas Struve